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S’oublier au coin de la rue, c’est la parole des grosses filles mal-aimées, des survivantes en colère, des romantiques déchues. C’est la recherche d’un début de réponse pour guérir des relations toxiques et déconstruire l’image déformée de l’amour que reçoivent les personnes assignées filles.

Dans ce livre, on parcourt, dans une poésie brute et viscérale qui ne fait pas de quartiers, les rapports sous influence, les dépendances multiformes, les violences sexuelles et les peines d’amour.

« Ce manifeste féministe ouvre les portes à une introspection de la femme à la suite des dénonciations d’inconduites sexuelles. On y lit les mots de l’autrice qui tente de guérir sa pensée eu égard à ses relations toxiques du passé. C’est à travers des mots lourds et mélancoliques que l’autrice souhaite déconstruire l’image parfaite de l’amour. Les éditions Hashtag ajoutent une œuvre touchante et mouvante qui montre très bien la mémoire des êtres et des objets et la capacité de retenir des secrets, passant des murs d’un appartement aux rues d’un quartier. » — Emmanuelle Côté, Librairie Pantoute

Cote : C841.92 C4698s

Lire une critique publiée par Le Devoir.


Source: Rosalie Méthot / Bibliothèque