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Suggestions de lectures
Le retrait
« Cet entretien profondément stimulant entre deux de nos plus importants intellectuels contemporains corrige la négligence des médias à propos des dommages catastrophiques infligés aux personnes, à l’environnement et aux ressources en Afghanistan après le retrait des États-Unis, ainsi que de leurs guerres tout aussi injustifiées en Irak et en Libye. »
— Angela Davis, extrait de la préface
Au Québec, c’est comme ça qu’on vit
« Je suis venue au Québec pour sauver mon âme. C’était à l’automne 1975 ; l’amour libre, le Parti québécois et l’“année des femmes” étaient dans l’air. Mon chum et moi arrivions d’une année de vagabondage en Europe. S’il fallait rentrer au pays, lui avais-je dit, traçant ma lignedans le sable, j’accepterais de vivre à Montréal, nulle part ailleurs. Mon-tree-all ou la mort. »
À qui profite l’exil ?
Un reportage illustré sur le business de l’exil, qui montre à qui profite les moyens engagés en faveur de la fermeture des frontières ou encore qui sont les sans-papiers qui font fonctionner l’économie. Trafiquants, industriels de la défense ou employeurs européens profitent de ce système sans se préoccuper des 40 000 morts et disparus.
La Chine et le nouveau désordre mondial
En dix ans, l’influence exercée par la Chine hors de ses frontières s’est étendue de façon vertigineuse. Dès son arrivée au pouvoir, en 2013, Xi Jinping lançait la « nouvelle route de la soie », projet d’investissement de centaines de milliards de dollars visant à établir un réseau d’infrastructures planétaire. Les quelque 150 États aujourd’hui concernés par cette initiative se trouvent incités à se rapprocher de Beijing, ou du moins, à détourner le regard devant les conséquences de son durcissement idéologique. Le Parti communiste chinois déploie en effet des efforts considérables pour surveiller ses critiques, notamment au Canada et en Europe.