Sélectionner une page

« Les rencontres avec des gens de la rue et leurs témoignages m’ont permis d’ouvrir mon cœur, de grandir et de changer mon regard envers eux. À nous, autant que possible, de leur tendre la main. Je ne dis pas que nous allons tous les sauver et les réintégrer dans la société. Mais chacun de nous peut faire un petit quelque chose pour leur bien : les considérer comme des humains. Des humains. »

Après avoir animé la série Face à la rue, diffusée à la chaîne Moi & Cie, Jean-Marie Lapointe a ressenti le besoin de poursuivre sa réflexion sur l’itinérance. Les sans-abri dérangent. Et, comme nous, il a déjà détourné le regard. Ce n’est plus le cas. Avec toute l’empathie qu’on lui connaît, il se livre dans Être face à la rue sur de nombreux thèmes concernant l’itinérance, ainsi que sur le parcours de certains protagonistes de la série. En parallèle, il se souvient de moments où il aurait pu, lui aussi, glisser et se retrouver de ce côté. Il se sait chanceux.

Cote : 362.592 L3153e

À lire sur le même sujet : Regards croisés sur l’itinérance et Itinérance et cohabitation urbaine : regards, enjeux et stratégies d’action


Source: Rosalie Méthot, Bibliothèque