Ces lieux qui nous font du bien
La pandémie a changé notre rapport aux lieux, pour longtemps ou pour toujours. Le télétravail nous force à repenser la maison, mais le repli sanitaire a ses limites. Pour continuer d’avancer, et aussi pour s’adapter aux défis environnementaux, il faudra redécouvrir la force du « nous », de l’action tournée vers le collectif. Comment l’architecture peut-elle participer à cette redéfinition du bien commun? Peut-elle s’inscrire dans une forme heureuse de décroissance ? Simplifier, dématérialiser nos vies, intérioriser : voilà ce que propose Habiter en beauté, un essai sous forme de dialogue entre l’architecte Pierre Thibault et la communicatrice Catherine Perrin.
Les pistes à suivre? Préserver le végétal et le réintégrer dans nos vies, mais aussi privilégier un habitat sobre et qui respire en estompant les limites entre l’intérieur et l’extérieur. « Il faut trouver la singularité des territoires pour essayer de savoir ce qu’on peut y introduire et mettre en relation, de la façon la plus harmonieuse possible, le territoire et l’architecture, à la campagne comme en ville », expliquait récemment Pierre Thibault à La Presse.
Ce n’est pas d’hier que le célèbre architecte chante les vertus d’une architecture conçue avec la nature au quotidien. Dans cet essai porté par la plume sensible et rigoureuse de Catherine Perrin, il poursuit la réflexion entreprise avec François Cardinal dans le best-seller Et si la beauté rendait heureux.
Cote : 720.47 T425h
Feuilleter un extrait de ce livre.
Lire une chronique publiée par La Presse. Écouter un entretien avec Pierre Thibault diffusé par Ici Première. Voir une entrevue avec Catherine Perrin diffusée par Ici Radio-Canada.
Source: Rosalie Méthot, Bibliothèque