Survivants de la Grande Guerre, Ernest Schoedsack et Merian Cooper se rencontrent à Vienne. Le premier a filmé l’horreur des tranchées, le second s’est illustré dans l’aviation. Un unique but scelle leur amitié : filmer le réel, dire le monde et la guerre sans fard. Leurs films sont acclamés mais quelque chose manque. Des années plus tard, ils donnent naissance à une fiction folle : King Kong.
« Filmer la sauvagerie, la cruauté, la splendeur du monde, filmer cette force à l’oeuvre aussi au cœur des hommes, tel était leur pacte. »
Lire une critique parue dans le périodique L’Obs.
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Source: Rosalie Méthot, Bibliothèque