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En proie à des pensées suicidaires et à un mal-être récurrents, Myrique fait quelques séjours en psychiatrie. Iel en vient à porter attention aux autres patient·es, à écouter leurs vécus singuliers, puis à en tirer des portraits aussi lucides que bienveillants.

Inspiré·e par la Flore laurentienne du frère Marie-Victorin et par ses propres explorations forestières dans le Bas-du-Fleuve, iel développe le projet d’apprendre à nommer le vivant, avec toutes ses forces et ses failles, ses beautés et ses détresses, dans l’espoir d’éclairer les siennes.

Cote : C843.92 R4251n

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Source: Rosalie Méthot / Bibliothèque