De la terre fertile et tangible d’une enfance agricole ardue, rêveuse et sensuelle, à l’enfermement d’un futur dématérialisé à la suite de la Grande captation numérique, une femme raconte ses transformations physiques et amoureuses, la persistance de sa nature humaine.
Comment conserver la mémoire de l’être et des sentiments sur le chemin de la post-humanité? Comment résister à l’entreprise totalisante à l’oeuvre derrière les machines?
Avec Nous rêvions de robots, quelque part entre Asimov et Volodine, l’auteure propose un récit de science-fiction décliné en poèmes, duquel n’est conservé que le plus précieux, le frisson, la beauté et le secret, pour affirmer l’humain.
Lire une critique parue dans le magazine Spirale.
Et puisqu’on parle d’Asimov et de Volodine…
Source: Rosalie Méthot, Bibliothèque