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Prix Gratien-Gélinas, 2018

Le destin, c’est le quotidien : en une toile chatoyante où l’imagination jubile, où la détresse est palpable et où l’ironie n’est jamais loin de la douceur, en voici une preuve aiguë, qui porte un regard net, drôle, triste et aimant sur les auto-sabotages qui tissent nos existences.

Rompre la routine et briser le quotidien. C’est ce que décident de faire les quatre personnages d’Une journée, chacun à leur façon. Car ils aspirent à un avenir glorieux, alors que le point culminant de leur journée ressemble le plus souvent à une soupe minestrone préparée à la mijoteuse.

En vingt-quatre heures, quelque chose les poussera à agir, à sortir de l’autosabotage pour tenter l’impossible et aller au-delà de la routine : quitter son travail un matin pour aller retrouver sa mère, renouer avec son ancienne flamme, vouloir passer directement à la journée suivante, mettre la main sur le cellulaire de sa collègue. Autant de voies pour sortir de l’isolement et y trouver, qui sait ? une issue ou… une acceptation de la banalité.

Cote : C842.92 C462j

Feuilleter un extrait de cette pièce de théâtre.

Lire une entrevue et une critique publiées par Le Devoir.

À découvrir par la même dramaturge : Le faiseur : d’après Honoré de Balzac

Gabrielle Chapdelaine présente sa pièce de théâtre :


Source: Rosalie Méthot, Bibliothèque