Dans une société de plus en plus obsédée par la minceur et par le corps, être une fille, être une femme, c’est incarner une définition binaire de la femme qui proclame qu’être mince, c’est bien, et que les autres corps – non minces – sont laids.
L’auteure explique que la questions du poids dépasse de loin celle de la nourriture, trop souvent source d’angoisse, comme notre corps: elle est une réaction à notre situation sociale, ce que les autres et nous-mêmes voyons de nous.
À découvrir également: Beauté fatale : les nouveaux visages d’une aliénation féminine
Source: Rosalie Méthot, Bibliothèque