Début 2020, le partenaire de Laurence Leduc-Primeau s’est donné la mort. C’est alors la fin d’une longue conversation. Quelques mois plus tard, l’autrice lui écrit cette lettre dans laquelle elle démêle les enfers, revient sur leurs dernières années, sur le plus horrible comme le plus beau. Aucune réponse, aucune stratégie de survie dans ce texte rédigé au cœur du choc et de la tristesse.
Une voix, tout simplement, une voix littéraire qui a fréquenté le mystère de l’effondrement et de la mort. Cette lettre destinée à quelqu’un qui n’est plus recèle pour les vivants un moment d’émotion, d’écriture et de vérité inimitable.
Feuilleter un extrait de ce roman.
Lire des critiques parues dans La Presse et Le Devoir.
Source: Rosalie Méthot, Bibliothèque