Enquête sur ces compagnons qui rendent nos vies meilleures
Qu’il s’agisse de la zoothérapie où la présence d’animaux est utilisée pour améliorer l’état de personnes souffrants de certaines maladies, de la médiation animale qui permet d’observer de réels progrès chez celles atteintes de troubles du comportement, de leur utilisation en milieu carcéral pour aider à la réinsertion des détenus les plus violents ou de leur présence qui aide à obtenir les témoignages d’enfants victimes de maltraitance, les animaux nous font du bien de mille et une manières.
Des étudiants qui surmontent le stress des examens. Des enfants atteints de troubles du spectre autistique goûtant une forme d’apaisement. Des victimes mises en confiance au moment de témoigner devant des magistrats. Des personnes âgées isolées qui retrouvent goût à la vie. Des détenus dont la réinsertion est rendue un peu moins difficile…Tout cela grâce aux bienfaits apportés par la présence de chevaux, de cochons d’Inde, de chats… ou de serpents. Laurence Paoli est allée à la rencontre de celles et ceux dont un animal a changé la vie ainsi que des scientifiques qui étudient ces relations. Leurs regards croisés ouvrent la voie à un nouveau rapport entre l’homme et la nature.
L’autrice a mené l’enquête sur ce que les animaux peuvent nous apporter et comment ils améliorent nos vies. Remettant en cause certitudes et idées reçues, elle dévoile les résultats spectaculaires obtenus par les pionniers du recours aux animaux et donne à voir le potentiel inexploité de leurs méthodes. Au-delà de l’émotion et des caricatures, elle nous montre ainsi que nous avons encore beaucoup à apprendre du monde qui nous entoure.
Feuilleter un extrait de ce livre.
Compléments de lecture : La zoothérapie auprès des personnes âgées : une pratique professionnelle et L’incroyable histoire des animaux : le grand récit des relations entre les animaux et les humains
Lire une entrevue parue sur le site du magazine 30 millions d’amis.
Voir un entretien accordé à France 5, dans le cadre de l’émission C à dire :
Source: Rosalie Méthot, Bibliothèque